Heureux Evenement....

[zara et marie faites les discours,les atre faite ce que vous voulez mais ne faite pas avancez le mariage svp j'ai une action specifique a faire,merci ]
Hector: prit l'alliance le plus delicatement possible et le mit au doigt de celia en essayant de ne pas lui briser la main,puis ce fut au tour de celia de prendre une bague Taille XXL pour la mettre au doigt d'hector,les deux mariés signerent un document,ainsi que les deux temoins a savoir zara et marie puis le curé se tourna vers les temoins

Pretre: a vous chers temoin, un discours chacun

zara&marie: QUOI?!

Hector:

Zara : Peuh, un discours... Super ! *o*
Zara sourit un coup... il adorait ça. Sauf que là, il fallait pas galvaniser la foule, ni rien. Bah, il allait improviser.

Zara : Eh bien, mes chers amis ici présent, peuple de Santaruz aussi présent, je peux dire que ce jour est assurément un grand jour. Hector, le monarque de Santaruz, se marie. Qui l'eut cru ? Des airs bourru, une technique de combat et de se nourrir TRES particulière... qui pouvait penser qu'au fond, Hector était un tendre ? En effet, notre cher Hector est aujourd'hui à une place que peu d'entres nous, les monarques, avons testé...
Hem... qu'aucun d'entre nous n'avons testé, même...

A cet instant, il jeta un rapide coup d'œil à Marie, avant de reprendre son discours.

Zara : Donc, il sont les premiers. Hector de Santaruz, et Celia, que, je dois bien ici l'avouer, je ne connais pas depuis longtemps, se sont unis. Je ne sais pas si vous avez réalisé, peuple de Santaruz, mais vous avez une Reine, désormais. Celia de Santaruz ! Qu'on acclame cette union ! Vive les Mariés, Vive Santaruz !
Et, Félicitations, tout les deux !

[bah j'ai rien à faire, ma job est fini de toute façon XD]

Après les acclamations et applaudissements polis de l'audiance, Zara retourna à côté d'Hector tandis que Marie marcha vers la place où se tenait Zara précédemment. Elle leva les yeux vers l'assistance qui la regarda en retour. Elle regarda ensuite Hector et son air crétin d'un côté, Célia qui se concentrait pour respirer de l'autre, Zara qui lui fit un sourire qui voulait dire "Vas-y" et prit finalement une inspiration avant de commencer son discours.

Marie : Mesdames et Messieurs, peuple de Santaruz, chers amis et souverains, nous voici aujourd'hui réunis pour célébrer le mariage, eh oui, le mariage, vous avez bien entendu, d'Hector, si si, vous entendez toujours très bien, et de Célia.

Il y eu des chuchotements dans le public. Marie regarda Hector qui, le sourire figé, lui lança un regard qui siginifiait "Tu t'es déjà pris un ours en pleine poire ?". Célia, quand à elle, ne semblait pa remarquer que les mots qui sortaient de la bouche de Marie étaient des mots, ni que ceux-ci formaient des phrases, ni que celles-ci avaient un sens. Zara quand à lui, garda le même sourire figé qu'Hector, mais son regard signifiait "MARIE TU FOUS QUOI BORDELCCCCH ?!?". Marie sourit à son tour et continua son discours.

Marie : En effet, qui eu cru qu'un jour, ce gros tas de muscles et de violence pleine d'ours qu'est mon ami Hector, pourrait se marier, et, qui plus est, avec une femme aussi charmante que Célia ? Pire, qui aurait un jour imaginé qu'une décendance puisse être probable ?

Le sourire figé d'Hector s'allongea un peu plus, tandis que Zara devenait tout blanc. Célia, quand à elle, continuait de contrôler sa respiration. L'assistance commença à s'échauffer.

Marie : Simplement, chers amis, chers sujets ici présents, nous sommes ici en terres santaruziennes. Et ici, tout est possible... Ou improbable, mais réalisable. L'amour improbable dans d'autres ciconstance de ce cher Hector et de sa magnifique femme Célia est probablement la chose la plus évidente qu'il puisse arriver à Santaruz. Et c'est pourquoi je tiens à dire à ce bon gros Hector que je suis incroyablement fière de lui.

Hector et son sourire se figèrent encore un peu plus, mais cette fois-ci, ses yeux exprimaient de la surprise. Zara, quand à lui, commença à sourire, mais d'un sourire franc.

Marie : Malgré le fait que ce soit le plus gros bourrin et probablement le meilleur guerrier que j'aie jamais pu avoir le privilège de compter parmis mes amis les plus proches, je suis persuadée que Kain, mon filleul, recevra la meilleure éducation et tout l'amour qu'aucun prince avant lui n'ait jamais reçus.

L'assemblée sembla s'attendrir. Zara souriait à présent réellement et regardait Marie d'un air qui signifiait "La voilà, ma Marie =)". Hector, quant à lui, était toujours profondément choqué.

Marie : Célia. Bien que la seule relation que j'ai pour l'instant eu avec toi est celle de sage-femme, ou presque, je sais qu'Hector sera le meilleur mari pour toi. Malgré son amour pour la gastronomie approximative, l'alcool et le bourrinage, je sais qu'il sera toujours là pour toi, que quoiqu'il advienne de nous tous ici, tu seras toujours en sécurité.

Célia commença finalement à réagir. L'assemblée étouffa des exclamations.

Marie : Pour conclure, mes chers amis, je souhaite tout le bonheur du monde à mon très cher ami Hector, sa charmante femme Célia et leur fils Kain.

Marie fit un grand sourire et se pencha vers Hector, lequel était toujours sous le choc et avait toujours son sourire crispé.

Marie : Hector, mon vieux, t'as cartonné sur ce coup-là

Puis elle se redirigea vers Célia qui commençait à prendre conscience des choses autour d'elle...

[ Ben mon job consistait à empêcher qu'un ours souhaitant venger ses compagnons débarquant au beau milieu de la cérémonie alors Mais c'est mieux que simple soldat merci Hector]

Malbius croisa les bras, le sourire aux lèvres. C'était quand même de sacrés beaux discours, à en juger par la tête sidérée d'Hector
Malbius : "Je ne vais quand même pas ressortir les partitions pour que tu tiltes, si ?"
Hector : "J'en reviens pas"
Malbius : "Ha ha ha..."

Les alliances étaient mises. Malbius attendait donc un rapide signe de la part de Marie avant de faire le boulot qu'elle lui avait demandé de faire.

Les alliances échangées, Marie fit un signe de tête à albius, lequel tapota l'épaule du vieux derrière son orgue. Ce dernier se retourna, l'air désespéré. Malbius lui chuchota rapidement quelque chose à l'oreille. En effet, le pauvre musicien était de plus en plus desepéré. Il entama une mélodie familière aux oreilles d'Hector qui se retourna brusquement en direction de Marie dès qu'il entendit le vieil homme chanter...

Musicien : Ahem ... Livin' esay, lovin' free ! Season ticket for a one-way ride ! Askin' nothin', leave me be, taking everything in my stride ! Don't need reason, don't need rhyme, ain't nothing I would rather do ! Going down, Party time, My friends are gonna be there tooooooo...

Hugues le sourire aux lèvres profitait de cette splendide journée
[ Sans se douter que ça pourrait ne pas durer ]

Orguiste : (Pensif) "J'aurais décidément tout fait moi"
Malbius : "On se tait et on joue..."
Orguiste : "Que... Quoi ? Comment vous avez pu savoir que..."
Malbius : "Ca se devine à votre air désabusé..."
Orguiste : "Oh..."
Malbius : "Un peu de joie, mince !"

Malbius se retira de l'orchestre pour revenir à sa place, en faisant bien signe aux concernés que tout était ok. Puis, quelques moments après, un petit moment mélancolique lui envahit l'esprit
Malbius : (Pensif) "Oui, un peu de joie. C'est tellement rare, des moments comme ça..."
Sélès : "Malby ?"
Malbius : "Non, rien..." ^^

Et voilà. Tout était fait. Hector, roi de Santaruz, venait d'épouser l'élégante et pleine de grâce Selia de... en fait on sait pas trop d'où, à part qu'à partir de maintenant elle est de Santaruz. Lyon, qui avait reû la tâche de gouvernant pour cette cérémonie, cajola son filleul du mieux qu'il put et, lorsque les alliances passèrent dans les doigts des mariés, Kain ne put s'empêcher de sourire et de rire candidement. Il chuchota pour lui-même

Lyon: Et non cher frère, Kain se rend compte de tout ce qui se passe... Et plus encore...

Puis, une voix se fit entendre. Levant enfin les yeux du bambin, il vit Zara prononcé son discours suivi aussitôt de Marie, qui eut beaucoup plus d'effet. Un sourire apparut sur les lèvres du Phoenicien et il se leva avec le bébé dans les mains pour aller rejoindre ses amis. Il arriva à côté d'Hector et, tenant le bébé dans le creux de son bras, lui tapant dans le dos avec l'autre main.

Lyon: Félicitation Hector! Je suis super content pour toi!

Il se tourna vers Célia et la salua du buste.

Lyon: Reine Célia...

Puis, la musique d'AC/DC entrer et il sut que la fête allait commencé.

[Jvous demanderai de ne plus Poster en attendant le prochain post ,ya un gros trucs de prevu]
Hector: souriait ,ca faisait longtemps qu'il n'avait pas profité autant de la vie,tout le monde etait heureux et semblait avoir momentanement oublié tout les problemes qu'ils on put avoir,la fete commenceait et tandis qu'hector et celia etait toujours devant l'autel entouré de leurs amis la foule se mit a hurler : "UN BAISER UN BAISER UN BAISER" hector observa celia en souriant avant de se tourner vers ses amis,puis il approcha son visage de celui de la reine de santaruz ....

[et elle lui donna une gifle monumentale! XD]

[ Ca casserait vraiment la romance ^^ ]

« Désolé de devoir gâcher la fête… »

La voix fantomatique avait résonné alors que les deux mariés s’apprêtaient à conclure leur pacte. Toute l’assemblée se figea tandis qu’au fond étaient apparus trois silhouettes. L’une immense et imposante, une autre de corpulence moyenne et la dernière était assez menue. La première semblait tenir un corps dans sa main. Cela intrigua tous les souverains qui n’avaient pas revu Sorenette depuis la bataille de Kilvas. C’étaient Oeil de Diamant, Cheveux d’Ambre et Cœur d’Or. L’homme s’avança, et lança le cadavre qu’il lançait au premier rang, vers les Seigneurs.

« Vous reconnaissez peut-être cette femme ? »

Avant qu’ils ne partent à Santaruz, Lèvres de Rubis avait retrouvé suffisamment de forces pour retourner dans son corps et quitter l’enveloppe charnelle de Sorenette. Voilà qui ajouterait au drame qui allait se produire…

Hector n'avaient meme pas conclu son pacte de mariage par le baiser traditionel,la voix qui venait de se faire entendre l'avait figé .Il se retourna et les vit...Les Blacks Jewels,quand il vit le cadavre de sorenette son visage se durcit et se remplit de colere,il observa ses amis , choqué,dans le meme etat que lui
Hector ,attrapa hughes par le bras

Hector: Hughes,Protege la foule emmene les hors d'ici
Le roi s'avanca ensuite d'un pas en tete du petit groupe

Hector: Bande d'ordure,vous le payerez de votre vie ! Pourquoi etes vous venus ici ?!

Hugues choquée était un peu perplexe mais à sut rester maitre de lui
Hugues : Hé mince tout ça arrive alors que la sécurité dépend de moi..Fred je t'avais dit de me prévenir..
Il hurla
Hugues : Rester calme, Partons par cette entrée, rassurez vous notre roi sera gérer la situation et exterminer ses intrus
La foule inquiète se précipita en courant le plus vite possible vers la sortie
Hugues : Ils ont céder à la panique...Fred, part avec cette patrouille de Santaruz protège les au péril de ta vie et aller dans la forêt. Soyez sur vos gardes et attention aux ours
En s'adressant à son seigneur tout en dégainant son épée
Hugues : Je ne peux partir en laissant mon souverain face à un tel danger

Hector: Hughes ! Je te confie la garde de nos citoyens ! de plus tu ne peut rien contre eux ils sont trop puissant,alors va hughes,c'est un ordre,tu dois proteger nos concitoyens

C'était trop beau pour être vrai... Et la super fête, elle? Elle venait de disparaître.... À Dieu la bière et les festivités. Il fallait que ces saletés de Black Jewels ruinent toute la fête. Knoll, qui portait au moins son épée à la ceinture, dégaina aussitôt.

Knoll: Déguerpissez d'ici, vous n'êtes pas les bienvenues et le serez jamais !!

Lyon était sous le choc. Pourquoi devaient-ils gâcher un si beau moment! Puis, ses yeux se fixèrent sur le corps inerte de Sorenette. Les larmes montèrent et roulèrent sur les joues du souverain.

Lyon: Espèce...d'ordure!

Avant que quiconque puisse faire un mouvement, Lyon avait déchaîné sur les trois ennemis un sort de lumière, pour Sorenette qui méritait un sort divin pour vengeance et en même temps en espérant que ces créatures immondes soient faibles à la lumière. Entretemps, Il avait téléporté le corps de Sorenette à côté de lui. Il se pencha sur son corps.

Lyon: S-S-Sorenette...allez réponds, dis-moi que c'est une blague...faites que tu sois seulement inconsciente... Pourquoi Aritia encore une fois...!?

Malbius était resté calme, mais on voyait qu'il n'allait pas le rester très longtemps. Son corps tremblait et ses yeux commençaient à arborer la couleur dorée tellement spécifique de son état de Berserk. Son premier réflexe était de se tenir juste devant sa soeur pour la protéger.
C'est la vue du cadavre de Sorenette près de Lyon qui l'avait mis dans cet état. Aucune larme, juste une envie furieuse de laisser exploser sa colère.
Gâcher un mariage, c'était déjà beaucoup, mais exposer fièrement ses victimes, c'en était beaucoup trop
Malbius : "On ne pourra décidément jamais profiter d'un semblant de bonheur ici, hein ?"

Ses afflux magiques, bien plus puissants et acérés depuis la dernière bataille, avaient pénétré le corps du Sage. Il était prêt à déverser ses sortilèges si jamais ça devait encore empirer...
Voyant que les gardes avaient du mal à porter l'Armadès, Malbius décida de prendre les choses en main en éveillant la magie de foudre de l'arme.
Malbius : "Frangin, attrape ! Sélès, éloigne-toi d'ici"
Sélès : "Oui..." *Tap tap tap...*

La foudre qu'il avait crée au dessus de son frère attisa l'Armadès qui virevolta vers lui...
Malbius : (Pensif) "Vous allez le payer... Au centuple..."

Hugues : Très bien messire mais la princesse Selès et la reine Celia ? Parte -t- elles avec moi ?

Marie ne bougea pas. Seul son sourire s'effaça pour laisser place à un visage sans expression. Elle aperçu le corps de son amie et les larmes se mirent simplement à couler. Elle sentit la magie bouillir dans son corps comme toutes les autres fois où elle avait vraiment eu envie de tuer. Envie de venger ses amis. Elle remit simplement une mèche de cheveux derrière son oreille et sortit ses livres de magie. Elle était prête à se battre, et, cette fois-ci, elle serait beaucoup plus puissante que d'habitude.

Marie : ... Vous en avez pas marre de nous pourrir la vie, bande de malades mentaux ?