Le passé d'Ositia...

[Bon, vu que on ne sais pas comment (en role play) notre perso devient roi, j'ai décidé de faire un role qui l'explique...Ca sera en plusieurs messages, j'aurais pas le temps de le faire en une fois. Je pense qu'il est inutile pour vous d'intervenir directement...Les message avec des crochets sont accepter X3]
légende: ~: Le narrateur (?)
italique: Action

Prologue: La misère d'Ositia:

~Ositia...Un pays qui, autrefois, était resplandissant...Ce pays, aussi petit soit-il, était regorgé de ressource humaine, qui faisait tourné le pays, tant bien que mal. Aujourd'hui, tout s'est privatisé. Les riches s'enrichisses encore plus, les pauvres n'ont plus rien pour vivre...Mais revenons en arrière, lorsque cette "privatisation" a commencé...Lorsque Luc de Xavor, est devenu roi d'Ostia...~

Chapitre 1: La résistance:

~Cela fait maintenant 6 mois que Luc de Xavor est roi...6 mois de probleme financier pur le peuples, 6 mois de nouvelle privatisation, 6 mois de trop dans certaines vies...Mais regardons de plus près ce Luc de Xavor: fils de la marquise Dominique de Xavor, étant marié à un riche directeur de mine. De cette union, Luc est né; Luc est radin, egoiste, mais surtout, il a était énormément gaté lors de sa jeunnesse. Il devint roi d'Ositia, après la mort de Lord Bernard-Uther.
Revenons à Ositia; le pays est en crise.
A bout de nerf, le peuple crée une résistance. Quelques "magouilles" sont faites un peu partout dans le pays. Puis, au bout du huitième mois de règne de Luc, appellé aussi "l'imbécile", le mouvement s'intensifi: Des actes révolutionnaires se font, des attaques terroristes sont dirigés vers le chateau d'Ositia (le chateau du roi, appellé chateau d'Ositia).
Luc, vivant dans une "bulle", détesté d'etre déra,gé dans ses activités.
Un jour, qu'il faisait sa partie de chasse quotidienne, il entendit des cris, veanant de derrière les murailles du chateaux. Révolté, il envoya tous les gardes d'Ositia, tous les mercenaires, tous les guerriers, qu'ils payaient d'une somme exorbitantes, pour tué les résistants.
Mais le chef de la résistance, Don Alfredo, unifia tous les résistants une bonne fopis pour toute, pour crée une véritable armée...~

Chapitre 2: juste des vies humaines, après tout.
~La résistance, ainsi unifié, arriva devant le chateau d'Ositia. Voici ce qui se passa...:~

Un immense campement se tenait à quelques plaines du chateau d'Ositia, en dehors de la ville qui lui faisait face. Dans la plus haute tente de ce campement, un homme était couché, comme un centurion romain, sur une banquette. Autour de lui, plusieurs personnes. On pouvait remarquer un laguz.

???: Don Alfredo, l'attaque se fera-t-il par le dos du chateau?

L'homme sur la banquette releva sa tete.

Alfredo: Oui, il est inutile de passer par le village.

Un homme s'avanca

???(2): C'est vrai qu'il est inutile de sacrifier des vies humaines!

Alfredo: Bah, la vie en elle même, je m'en fiche...Du moment qu'elle puisse fournir du travail.

Le laguz semblait préocupé. Alfredo l'interpela:

Alfredo: Alors, "commandant" Vladeo...Pourquoi sembles tu si préocupé...?

L'homme se retourna. On pouvait clairement reconnaitre le visage de Vladeo, en plus jeune.

Vladeo: Hum...Je pensais justement à ces vies humaines que nous n'avons pas épargé...

Alfredo: De quoi de plains-tu?! Tu as réussir à gravir les échelons si rapidement...Grace as ton vouloir de tuer l'imbécile...Du moment que tu es en haut de l'échelon sociale, tu es à l'abri de tout...En plus tu es jeune..Décidément, tu me plaie...

Vladeo ne répondit rien.

Alfredo: Il est temps de levé l'armée. Nous allons attaqué le chateau. Dans environ...

Alfredo sortit un montre à gousset.

Alfredo: ...30 min tout est près.

Chapitre 3: Barbare, ou juste impatient?

~Derriere le chateau d'Ositia, une armée se tenait. A sa tete, Alfredo, qui était entouré de trois personnes. Alfredo donna une parchemin a une personne qui couru jusqu'au chateau.
Quelques minutes plus tard, on le jeta d'une muraille du chateau, avec plusieurs dagues dans le dos. Alfredo s'avanca. Il était a cheval~

Alfredo: J'ai ma réponse...

Alfredo se tourna vers son armée.

Alfredo: RESISTANCE! IL EST TEMPS DE SE VENGER DE CETTE DICTATURE...N'ETANT PAS TRES DOUE EN DISCOURS...JE VOUS DIREZ JUSTE DE TUER LE PLUS POSSIBLE DE PERSONNE ET DE ME LAISSER L'IMBECILE!

L'armée s'élanca vers le chateau, y rentra sans aucune difficulté, vu qu'aucun garde n'était encore posté. Arrivé dans le hall. Plusieurs centaines de gardes y étaient posté. Un choc se fit entre els deux armées.
Alfredo marchait, entouré de ses trois hommes qui le protégait de tout coup. Parmis eux, Vladeo.

Alfredo: Allons dans la salle du trone. Vladeo, perce la défense.

Vladeo: ...Oui chef.

Vladeo se crispa, puis après un cri énorme, il se transforma en corbeau. Il fit une pique a travers le bain de soldats. Alfredo y passa sans se presser.

Alfredo: Hum...C'est si facile...Ils ne sont qu'une centaine.

Derriere lui, une fouels de soldats se battaient a mort...
Alfredo, Vladeo et les deux autres généraux se retrouvèrent bientot dans des couloirs déserts.

Alfredo: Nous ne sommes plus loin de la salle du trône...Si j'en crois les plans qu'on m'a donné, c'est juste après ce virage.

Dans le coin du virage se trouvaient plusieurs hommes qui firent une attaques surprise. Ils s'élancèrent sur Alfredo. Un des généraux s'interposa devant eux pour protéger Alfredo avec son propre corps, et se fit trancher le torse violamment.
S'ensuivit un cri de douleur...Le deuxieme général et Vladeo dégainnèrent leurs épées et s'élancèrent sur els ennemis qu'ils décimèrent en peud e temps.
Juste après, il allèrent voir le général tombé au combat.

Vladeo: Général Pierre!

Général n°2: Aaaa! Il est vivant!!!

Le deuxieme général positionna sa tete sur le ventre du général Pierre...Il était en vie! Puis, le général Pierre ouvrit les yeux et regarda Alfredo, qui feignit de ne pas voir son soldats blessès. Le général Pierre leva alors la main vers Alfredo et poussa un gémissement. Alfredo posa alors ses yeux sur le corps de ce protecteur.

Alfredo: Tiens...Tu es vivant toi...Pff tu sert vraiment a rien...S'écrouler après une attaque, même pas capable de se protéger avec un bouclier!

~Le général Pierre ouvrit grand ses yeux...Il n'en revenait pas...Quelle manque de gratitude...Il se sentait inutile dans ce moment d'agonnie...~

Alfredo s'approcha de lui...

Alfredo: Ne me regarde pas comme ca, minable!

~Alfredo pietinna le visage du général Pierre avec son pied. Jusqu'à ce qu'il poussa un leger gemissement...Plus rien...Il était mort.~

Alfredo: Vite, allons a la salle du trone maintenant...je déteste attendre!

~On pouvait encore entendre les cris de rages et le bruit des fers croisés dans le fond.~