Entrainement de l'érudit

Mélénor: Que peneses-tu d'une boule de feu dans les fesses, Lumenis?

Lumenis: Oo...Se prépare à partir.

Mélénor: Allez, on embarque!

Les deux mages montèrent avec DM sur la wyvern et celle-ci quitta la terre aussitôt. La créature monta le plus haut possible avant de se stabiliser.

Mélénor: Cher passager. Nous avons atteint notre altitude de croisiè-...

Tarras: ¬¬

Mélénor: ^^' Bon, allon-y avec cet écran.

Mélénor ferma les yeux et un nuage se forma autour d'eux, cachant leur présence à quiconque. La wyvern prit alors de la vitesse, car ils voulaient tous arriver à Phoenicis de plus rapidement possible. Mélénor regarda en bas et s'émerveilla de ce qu'il vit: des plaines, des forêts, des lacs et des rivières ainsi que des paysans travaillant d'arrache pied dans leurs champs.

Mélénor: Leurs vies doivent tellement être simple. Travailler, manger et dormir.

Tarras: Pardon?

Mélénor: Hum? Oh, rien, je ne faisais que marmonner mes pensées...

Lyon: Ben on rentre tout de suite...? Habillé comme je le suis, je ne me vois pas vraiment dire "Ouvrez-moi, je suis le roi!" ^^'

Dm: tu t'en fout! tu les gèle sur place et tu leur montre tes beaux cheveux bleus(car tu utilise loréal) et je pense qu'ils vont te croire

Mélénor: Alors je reviens comme avant?

Avant que Tarras ne put dire un mot, un bourrasque bleue se matérialisa de nulle part et entoura le jeune roi. Elle fit une boule de protection autour de jeune roi alors qu'il reprenait sa vraie apparence. La vague azure tournoyait autour de Mélénor, qui devenait Lyon à nouveau. Puis, soudainement, celle-ci disparut aussi soudainement qu'elle était apparu. Et lorsqu'elle se dissipa, on put admirer le roi dans toute sa grâce. Ses cheveux brun était redevenu d'un bleu éclatant qui se dégradait en longueur. Au lieu des vêtement gris sale et en loques, on le voyait vêtu de son habit mauve, couleur de sa nation. Une cape de la même couleur volait au vent derrière lui, et le diadème royal était posé sur son front.

Lyon: Ah!! Ça fait du bien ^^' Tu veux une nouvelle garde-robe toi aussi?

Dm: non ça ira, merci....vas-y le premier, tu est redevenu roi, et si quelqu'un me voit te précédant, je suis un homme mort^^'

[HRP//:on devrait continuer à Phoenicis non?]

[Ben on entre dans Phoenicis et on continue là-bas ^^]

Lyon: C'est bon, on fera ça rendu dans le chateau ^^

Lyon se dressa dans toute sa puissance et sortit du bois, suivit de Tarras, qui portait DM. Il se dirigea avec prestance vers l'entré de la ville, entouré de ses remparts de pierre grise qui contrastait merveilleusement avec le bleu du ciel qui se présentait en cette journée. Lorsque les gardes le virent, ils s'agenouillèrent et les villageois qui précédait le roi se retournèrent, ils figèrent et s'agenouillèrent et dégagèrent le passage pour qu'il entre. Il les remercia d'un signe de tête et entra dans sa capitale.

Il commença son ascension vers le château et la foule commença à murmurer son arrivée tout en laissant un passage qui menait directement vers sa demeure. Un silence solennel régnait dans la ville alors que le roi rentrait de nouveau, revenu de quelque part inconnu des habitants. Puis, le roi s'arrêta en plein milieu de sa marche, fit le tour des villageois et s'exclama.

Lyon: C'est comme ça qu'on salue son roi!?

Dès lors, la populace se mit à vibrer et des vivats fusèrent de partout, les phoeniciens acclamèrent leur roi alors que lui, le sourire aux lèvres, continuaient vers le château.

Lyon: *Voilà qui devrait leur donner un peu de joie et, qui sait, peut-être une fête... ^^*

Lyon continuait vers le château lorsqu'il arriva devant les portes de son immense demeure. Elle s'étendait devant lui, haute et longue, et d'un blanc immaculé. Un drapeau violet flottait au vent au sommet de cette merveille architecturale. Les garde royaux se prosternèrent devant Lyon.

Gardes: Mon roi!

Lyon: Ça va, soldats. Relevez-vous. Ouvrez cette porte!

Les gardes se dépêchèrent à lui ouvrir et il entra avec Tarras, et accessoirement DM. Tout de suite, il se dirigea vers sa chambre, spacieuse mais sobre, où il dit à Tarras de déposer DM dans son lit à baldaquin drapé de violet.