Nouvel ennemi , Nouvelle bataille . . .

Dans le couloir, seuls des corps trahissaient le passage de Silphenix. Nul sang et nul traves aux murs. Une seule chose indiquait leur état, les entailles sanglantes, desquelles nul sang ne s'écoulait, gelées comme elles l'étaient.

"Il va falloir trouver le bon chemin... Et je n'arriverais à rien seul, je pense."

Il saisit le livre qu'il avait emporté avec lui, et commença à le feuilleter.

L'officier de Santaruz dégaine rapidement son arme avant de faire plusieurs gestes vifs dans les airs, pour finalement la pointer sur son adversaire.

Hugues : L'offre est tentante, je ne peux qu'accepter, cependant je vous propose d'ajouter un complément. En plus de ma victoire, vous me livrerez des informations sur Lahus, particulièrement sur votre reine. Vous me dévoilerez c'est atout et ses points faibles. De mon côté, je vous propose que face à une épée à deux mains brandie, je sors une dague. Face à une épée longue dégainée, j' enlève mon armure. Face à une charge furieuse ...je me contente de sourire avec dédain. Alors Un sérieux avantage pour vous contre des informations précises pour moi, cela vous convient il général ?

Le capitaine est étrangement décontracté, espérant que son adversaire tombe dans son piège et fasse une erreur fatale. Ne se montrant peu impressionner et voulant donné l'impression qu'il a une grande confiance en ses capacités, il essaya de jouer de son apparence inoffensive et narcissique. Puis en mettant son épée proche de lui pour consolider légèrement sa garde, il soupira avec un sourire narquois

Hugues : Si la boisson devient meilleur avec le temps, ce n'est pas le cas pour vous Baldus, Place aux jeunes ils apporteront un nouveau charme !

Baldus éclata de rire en entendant le jeune imprudent qui se tenait devant lui. Si il était vieux, il était expérimenté, et le manque de vigueur qui pourrait exister chez lui était largement compensé par la connaissance. Car Baldus était général depuis l'âge de 18 ans, un exploit encore non renouvelé dans le monde. Il avait défait nombre d'ennemi à Lahus, et connaissait les tactiques offensives comme défensives à un point extrême ; De plus, il était réputé pour se servir d'une lance et d'un arc, et la combinaison de ces deux armes le rendait puissant. Dans un combat singulier, il n'utiliserait que la lance, mais il maniait celle-ci à la perfection, et l'arme était un véritable prolongement du corps. C'était la solution pour remporter les combats et il en ferait la démonstration à son adversaire. Mais tout d'abord...

"J'accepte vos conditions. Sachez que votre insolence risque d'être fortement punie par ma main et ma lance. Venez."

Sur ces mots le vieux général prit une position de garde défensive.

Hugues décida de tester les réflexes du vieux général. Il pris un bon appuis au sol avant de faire un grand saut suivi d'une acrobatie pour se retrouver derrière Baldus. Instinctivement et mécaniquement, l'officier de Lahus se retourna et tenta de planter son adversaire. Heureusement pour lui, celui - ci possédait de bon réflexe, il esquiva l'attaque de son assaillant d'un pas sur le côté. Il en profita pour noter les moindres mouvements du guerrier. Le capitaine de Santaruz fit quelques bonds en arrière. Il profita de la posture défensive du général ennemi pour réfléchir à une stratégie tout en gardant sa garde prête, une offensive pourrait lui être fatale ! Car c'est indéniable son adversaire à l'avantage du terrain ainsi que l'expérience des duels de son côté. L'officier de Santaruz était plus dans son élément avec davantage d'espace, cela lui permettait d'agir sur sa rapidité. Il hésitait à employer les grandes techniques que lui avait enseigner Knoll, il préféré les garder pour les combats d'après contre les BJ. Finalement Hugues décida de choisir en fonction du déroulement du combat. Il s'élança et commença à courir autour du vieux Baldus mais en restant à une bonne distance de la porté de lance ennemi.

Dans une salle de garde, on entendit un frottement approchant. Les gardes prirent leurs armes, et se mirent à discuter entre eux:

"Ce doit être le roi qui a réussi à entrer. Mais au bruit qu'il fait, il doit se trainer le long du mur, grièvement blessé. Il ne devrait pas y avoir de problème."

Au fur et à mesure que le bruit approchait, les soldats se rendirent compte que cela paraissait improbable, le bruit étant trop fort, et il sonnait comme si plusieurs centaines d'armes trainaient au sol...

C'est à ce moment que Silphenix arriva, trainant un grand nombre d'objets métalliques...

"Messieurs, auriez vous l'obligeance de me laisser vos armes et armures, ainsi que tout ce que vous portez qui soit en métal? Vous pouvez garder vos boucles de ceinture."

Quelques-uns réagirent, lâchant leurs armes et reculant vers le mur derrière eux.

"J'ai parlé des armures aussi..."

Le combat fut bref, avec d'un côté des gardes pas du tout préparés, et de l'autre Silphenix au mieux de sa forme.

Une fois les gardes abattus et dépouillés de leur équipement métallique, Silphenix entreprit de tout rassembler au milieu de la salle.

"Ici, il devrait y avoir assez de place..."

L'affrontement des deux hommes était assez impressionnant, leur troupe les regarder se battre vaillamment avec admiration. Aucun des hommes ne montrer des signes de fatigues et de faiblesse. Les réflexes et la défense impressionnante du général Baldus de Lahus le rendait puissant, résistant presque invincible. L'officier de Santaruz allié son agilité et sa vitesse pour esquiver la lance ennemi. Malgré la grande porté de l'arme ennemi il arrivait à la distancer. Aucun ne voulait abandonné, une détermination à toute épreuve qui devait pourtant se terminé par le sang

Hugues : Impressionnant général Baldus, vous méritez votre grade mais qui de nous deux va sortir d'ici à votre avis ?

Son adversaire ricana un petit peu avant de rire à gorge déployé. Malgré que son adversaire restait hilare, il garda son sang froid et reste calme. Il bondit sur son ennemi avant de faire une petite et simple acrobatie qui lui permis de dévier sur le côté et de ce fait esquiver la pointe meurtrière de l'arme. Il saisit sa chance et donna un vif mais puissant coup sur l'épaule du général. Celui-ci rétorqua par un grand coup d'épaule lorsque que l'épée s'abat sur sa massive armure.Un bruit sourd résonna dans les couloirs, Hugues en reposant les pied était un peu déséquilibré de cet offensive. Le vieux Baldus en profita pour lui assener un terrible coup que le capitaine esquiva de justesse en tomba brusquement au sol. Il roula sur le côté pour éviter une autre série d'attaque et profita de cet opportunité pour planter son épée dans la jointure de la jambe gauche du général de Lahus.

L'adversaire de Baldus était agile, et plus intelligent qu'il en avait l'air. Le combat était égal, mais le vieux général savait que le temps jouait avec lui. Plus le combat durerais, plus vite la Reine accomplirait son plan... peut être était-ce déjà fait, même.
Alors qu'il utilisait sa lance pour frapper Hugues, encore a terre qui venait de lui porter un coup à la jambe gauche, celui-ci le para et réussit à se relever. C'est à ce moment qu'un soldat de Lahus accouru en direction du général et lui hurla ceci :

"Mon général, l'objectif est atteint. Repliez vous vers la salle du trône !"

Baldus était blessé, mais il rompit le combat avec une vitesse surprenante. Une garde de soldat vint couvrir sa retraite et il atteint la salle du trône sans mal. Là, avec la Reine Nana et une cinquantaine de soldats des plus expérimenté, se trouvait la statue de glace du Roi de Santaruz. L'objectif avait en effet été atteint, et il ne restait plus qu'a partir. Nana activa le sortilège de délocalisation et cette compagnie se retrouva en sécurité dans les murs de Crimea.
Les soldats restant de Lahus s'organisèrent en guérilla, comme prévu, avec pour seul but de harceler les Alliés.
Encore quelques temps, et le piège se refermerait totalement...

Le capitaine se releva rapidement avant de constater la satisfaction sur le visage de son adversaire. Il regarda perplexe le vieux Baldus se replier vers la salle du trône. Une pensée lui traversa l'esprit : "Quel est donc cet objectif sois disant atteint ?". Mais la situation était critique, il réfléchirais ou interrogerais un prisonnier plus tard, il devait agir immédiatement. Refusant de terminer ainsi ce combat il tenta de suivre le général mais de nombreuses lances se tournèrent vers lui. Hugues se retourna vers ses hommes et leur donna l'ordre de faire un repli stratégique

Hugues : Ils sont bien trop nombreux, nous devons d'abord nous rassembler.

Les bataillons de Santaruz se retirèrent, les soldats les plus massifs s'interposèrent aux troupes de Lahus qui tentait d'approcher. Leur imposant bouclier les protégeant et couvrant leurs camarades. Leur fuite fut une réussite, ils se barricadèrent dans le hall évitant les couloirs étroits. L'immense pièce était en ruine, ce n'était guère étonnant après les incroyables affrontements qui avaient lieux. Mais les portes cédèrent, les hommes du capitaines était trop peu nombreux pour résister. Lors de la bataille les santaruziens s'étaient éparpillés, leur seule chance de résister était de se réunir. Mais le temps manquait, ils se feraient exterminés avant d'avoir eut la moindre chance de se rejoindre. Ils continuèrent à se replier passant de pièce en pièce mais à chaque traversé dans la fortification, nombreux de ses hommes tombèrent, volées de flèches, embuscade et pièges disséminés...La situation s'aggravait, l'officier de Sanatruz savait pertinemment que parmi toute les gradés de Santaruz présent lui seul pouvait espérer trouver un échappatoire . Mais tentant de réfléchir à une offensive, ils tombèrent sur une attaque massive de l'ennemi. Une grand bataillon de lancier s'approchait lance abaissait et bouclier fermement maintenu. Les Lahusiens avancèrent pas à pas en rythme, soutenu par une pluie de flèches.Tout en s'approchant de plus en plus du capitaine et de ses troupes, ils ricanaient de leur avantage. Hugues bouscula quelques hommes pour se rapprocher de la première ligne tout en s'adressant à eux.

Hugues : Mes chers compagnons en tant que haut gradé de Santaruz, on m'a enseigné les bases pour gouverner et d'après eux les généraux triomphent, les soldats tombent ! Mais je préfère mon opinion : je prends tout en charge ! Selon moi un vrai chef est celui qui dit "J'ai été battu". Il ne dit pas : "Mes soldats ont été battus" ! Donc si vous voulez déposer les armes et fuis fuir je ne vous retiens pas !

La poignée de santaruziens ayant survécu se regardèrent en se demandant qui serait le premier à abandonner. Mais ils venait de santaruz, le peuple fier, le peuple qui n'abandonne pas alors que tout semble perdu. Ils poussèrent tous un crie pour montrer leur loyauté au capitaine. Le bataillon de Lahus continué à s'approcher dangereusement, malgré le discours ennemi un sourire sadique s'affichait sur leur visage. Le haut gradé de Santaruz se positionna devant ses hommes et dégaina son épée. Il fixa les lancier ennemi s'approcher tout en effectuant quelques gestes rapides avec son arme. La tension devenait palpable, le sol commencer à trembler surement à dut à cette armée massive qui circuler dans un couloir étroit. Hugues restait décontracté et afficha un sourire dédain et déclara doucement et calmement

Hugues ; Le métier de soldat est l'art du lâche ; c'est l'art d'attaquer sans merci quand on est fort, et de se tenir loin du danger quand on est faible; voilà tout le secret de la victoire.

Sa phrase terminé, la cavalerie qui lui avait permis de rentrer il y a peu apparut derrière les Lahusiens les prenant en tenailles.
Malgré la bataille, le leader de Sanatruz rester pensif ; " Nous allons certainement gagner cet affrontement, la mort ne les emportera pas maintenant pour la plupart...Mais si par chance nous accédons à la salle du trône. Nous serons trop nombreux et affaiblis et notre défaite sera dès lors prévisible. La seule solution serait de capturer quelques endroits stratégiques et d'affaiblir Lahus petit à petit en espérant que les renforts promis par le roi ne tarde pas trop...C'est bien délicat comme situation et un peu fort comme première bataille mais je ne regrette pas t'avoir tester !".

Les deux camps ne montraient aucun signe de fatigue, chacun possédait des atouts pour vaincre l'autre. Les affrontements
incessants formaient un cercle vicieux ne possédant aucun vainqueur. L'astuce contre la force, la fougue contre l'expérience cet enchainement de combats qui s'éternisent montre l'ambition et la détermination des deux nations en guerre. Au milieu de cet boucherie sanglante, un jeune officier de Santaruz tente en vain de prouver sa valeur et de rejoindre son souverain. Chaque endroit repris durement par Santaruz se faisait auprès de lourds sacrifices.
Hugues et son bataillon vienne de capturer une tour de Lahus, mais ce n'est pas un cri triomphant et victorieux que poussé le capitaine mais un grand soupir
"
Hugues : C'est incroyable ! Ce spectacle montre mon incompétence ! Pour une simple tour, un édifice de pierre, une énormes quantités de vie humaines vient d'être perdus ! Toutes les marches sont recouvertes de ce liquide pourpre....Garde ton sang froid...ton souverain t'a promis ce poste et t'as conféré cette responsabilité parce qu'il avait confiance en toi ! Je ne dois pas l'abandonner dans un moment aussi critique ! Soldat de Santaruz, à l'assaut !!!

Dans l'immense château, le désordre est à son paroxysme. Ce n’est plus ni une attaque ni un combat, mais une mêlée vertigineuse, un tumulte furieux, une sorte de tourbillon dans lequel des hommes s'égorgent au milieu des choc formidable du fer. Chaque troupe se heurte avec rage et frénésie. La neige s'effondre sur eux recouvrant les cadavres ensanglantés. Gardant leur position et avançant prudemment, les bataillons de Sanatruz se rapprochent de leur adversaires. Hugues s'arrêta un moment pour reprendre son souffle et fut témoin d'une horrible scène, des soldats blessés au sol qui hurle " Ne nous frappez pas, nous sommes santaruziens !". Le commandant de la cavalerie pensant à une ruse répondit "Pas de quartier !". C'est à ce moment qu'une pensée vint en tête à l'officier de Santaruz "Comment faire pour mettre fin à tout ça ?". L'homme pensif avait les vêtements déchirés, sa cape reçut lors de sa promotion qui était toute sa fierté était imprégnés de sang. Son armure couvertes d'entailles et son épée rouge de sang jusqu'à la garde. Du sang s'écoulait de son épaule gauche et imprégnait ses habits d'une couleur pourpre. Il se redressa et de rallier ses troupes, mais un lahussien se jeta sur lui le poignard haut. Il tentait de tuer le meneur de l'armée adversaire mais celui-ci conserva son sang froid et réussis à le neutraliser rapidement.

Dans le Chaos de la bataille Personne ne vit arriver Hector, il traversa le champs de bataille,marchant sur les cadavres. Son regard etait triste en voyant tout les soldats santaruziens a terre . , il finit par arriver dans le chateau , son armure encore abimé du combat precedent etait pleine de neige. alors qu'il traversait le bataillon santaruzien restant les soldat s'ecarterent sur le passage de leur roi. Tout en ecrasant les quelques soldats ennemis qui venaient a lui , il se dirigea vers hughes et posa sa main sur son epaule ,l'interpellant par Son nouveau grade meme si ce n'etait pas encore Officiel. mais Hughes avait manifestement merité ses galons

Hector: Beau travail ,commandant Hugues. Topo !

[Tu n'es pas à Santaruz toi?]

[non, il est venu dire qu'on devait se planquer et il est reparti.]

Alors que Lahus perdait du terrain petit a petit, le moral des troupes Santaruziennes était bas, très bas. L'arrivée d'Hector les remonta, et, comme prit d'une nouvelle force, ils avancèrent encore plus.
La peur changeait de camp, le doute s'installait à Lahus... mais ce fut de courte durée, car tout le monde put entendre un son de trompe au loin... puis un deuxième, un troisième...
Une armée arrivait. Elle était en vue. Le soldat de garde en haut du donjon de Lahus poussa une exclamation de joie.... :

"Criméa ! L'armée de Criméa est venue ! Notre Reine ne nous avait pas menti ! La victoire est à nous !"

Sur le sol enneigé du royaume de Lahus venait de pénétrer une nouvelle armée... et pas des moindres. Les troupes de Criméa étaient équipé pour les combats dans la neige, avec des armures renforcées et de nombreux magiciens de feu et de glace, capable de contrôler les éléments éponymes.
Au dessus des fantassins et des quelques cavaliers volaient huit bataillons entiers de cavalier pégases, rompus au combat dans des conditions extrêmes...
Et au devant de cette armée était le général en chef de l'armée de Criméa, montant un cheval blanc comme la neige qui tombait. On distinguait de loin sa prestance et sa noblesse. Il portait un casque, et même si son visage était invisible, quelques mèches blondes s'échappaient. Assurément, il était grand, noble et beau, comme sorti d'un conte. Eltshan Hezul leva son épée vers le ciel et ordonna l'attaque immédiate.
L'armée de Criméa avança méthodiquement, la cavalerie sur les flancs et les pégases harcelant les unités ennemies encore sur les remparts. L'infanterie avançait directement vers la porte, Eltshan à leur tête.

Cette arrivée fit remonter d'une traite le moral lahussien. Ils reprirent espoir et jetèrent toute leur force pour défendre leur position. Le plan élaboré par Nana avait parfaitement marché.

Dans l'immense brouillard, une grande carrure apparut. Il brava la tempête de neige et massacra d'un simple gestes les Lahussiens téméraire, le roi Hector fesait son entrée ! Il informa le capitaine de son nouveau grade, ainsi il avait le sourire aux lèvres. Il révéla tout ce qu'il avait entreprit depuis que son roi était parti affronté Lahus.

Hugues : Suite à votre départ, nous avons lancer différents assauts. Ce fut un triomphe, nous avons encerclé le château de sorte à les tenir en état de siège ainsi que massacrer toutes les troupes adverses présentes dehors. Suite à ça nous avons construits un campements dans les bois de Lahus et tenté maintes tentatives pour ouvrir les portes. Nous avons évidemment réussis mais auprès de lourds sacrifices. Je me suis immédiatement dirigé vers la salle du trône pour faire capituler la reine, mais en chemin le général Baldus de Lahus me stoppa dans mon avancé. Alors que je commençais à percevoir un avantage sur lui, il est soudainement partit. Quel couard ! Ensuite nous avons capturer maintes positions intéressantes par leur position stratégiques mais pour arriver à ses victoires nous avons laisser une vastes mer de sang derrière nous.

Une fois son rapport récité, il entendit de grands bruits venant d'un peu plus loin, suivi d'un cri. La vigie avait clairement identifié l'armée de la nation de Criméa et elle semblait hostile. L'officier de Santaruz pesta, s'il ne fesait rien, ils allaient très vie être pris en tenaille.

Hector leva sa hache et une vague de foudre balaya tout les soldats restant qui foncaient sur eux,puis il se tourna vers son commandant .

Hector: Bon Organise les troupes, si nous sortons , nous somme fichus,nous allons donc nous placer a l'entrée de la tour,toi moi et les soldats en meilleur etat en premier ligne ,les autres derriere. etant donné l'espace reduit que nous offre cette tour ,leur nombre leur sera inutile, ils ne pourront pas sy engouffrer tous en meme temps et cela nous permettra de les abbatre.
Hector offrit a regard franc, un regard simple mais qui voulait dire beaucoup " Bravo tu a assuré " ou " nous ne perdrons pas " en sont des exemples. le roi voulait redonner confiance en hughes et a ses hommes

L'armée de Criméa entrait dans le château sans difficulté, car les forces de Santaruz s'étaient repliées dans une tour. Les derniers combatant Laussien virent s'ajouter à l'armée Criméanne. Eltshan stoppa ses troupes au sol et ses pégases : il était inutile de sacrifier des hommes et des femmes... oui, seules les filles pouvaient chevaucher les pégases, et certaines filles étaient enrôlées dans l'infanterie, également.
Il réfléchit rapidement et établit un nouveau plan. Si l'attaque frontale ne servait pas... alors il faudrait user de magie. Mais auparavant...
Il emmena une délégation devant la tour occupée par l'armée de Santaruz et interpella les soldats à l'intérieur :
"Soldats de Santaruz... j'aimerais, avant d'éventuellement combattre, m'entretenir avec votre commandant, quel qu'il soit. Nous pourrons ainsi négocier un éventuel cessez-le-feu."

Puis il attendit...

Hector sourit en entendant les paroles du commandant ennemi. il aurait preferé que Crimea fonce dans la tour sans sommation , mais tant pis, on ne peut tout avoir .
Aussi il posa la main sur l'epaule de hughes et lui fit signe de ne pas bouger sans qu'il en ai donné l'ordre. Puis le colosse sortit de la tour et fit face au Chef des Forces ennemis

Hector: Je Suis Hector , Roi de Santaruz. presentez vous .

Le commandant regarda son souverain partir seul à la rencontre des haut officiers de Criméa présent. Il voyait d'un bien mauvais œil cette réunion, après tout les agissement et plan de Lahus, ils ne pourraient reculés si facilement. Mas l'idée de résoudre ce problème par la diplomatie lui ferait plaisir mais cette tournure lui semble improbable. Après cet réflection, Hugues s'adossa à un mur et se laissa glisser au sol, il attrapa son fourreau et le conserva dans ses deux mains. Il resta silencieux et profita de ce moment de repos. L'homme regarda la neige qui tombait avant de soupirer

Hugues : Je commence à croire qu'une certaine dose de stupidité est nécessaire pour faire un bon soldat...

[HRP//: petite question: je suis censé faire quoi moi? ^^']

[Tu peux essayer de retrouver Hugues]

Eltshan sourit en voyant le Roi de Santaruz sortir de la tour. Hector était honorable, même si un peu... fou ?

"Mon nom est Eltshan Hezul, Chevalier croisé et général des armées de Criméa. Hector, vous n'êtes pas stupide, vous savez que si nos armées s'affrontent, ce sera un massacre dont vous ne sortirez pas vainqueurs.
Je vous donne deux alternatives : Une reddition pure et simple suivant certaines conditions
Ou alors un combat singulier, déterminant l'issu de la bataille entière."

Le chevalier croisé attendit alors la réponse d'Hector.

Hector souria en entendant la reponse du general de Crimea

Hector: Soit j'opte pour le combat singulier,mais ne sous estimez pas les soldats santaruziens, ils la reputation d'etre l'armée la plus redoutable et la plus courageuse.

Hector allait s'avancait d'un pas quand il sentit le collier qu'il avait autour du cou briller,sans se soucier de l'ennemi il le prit dans sa main et ce qu'il vit lui assena un choc. Aussitot il fonca vers la sortie du chateau. l'armée etant devant il bouscula violemment Eltshan

Hector: je suis desolé mais je ne pourrais pas etre votre adversaire. Mon commandant se chargera de cette futilité. Hughes. il est a toi .

[i]Sur ce hector traversa rapidement la salle sans se retourner, l'un des soldat ennemis tenta tout de meme de lui transpercer la nuque avec sa lance. Je me demande comment il voit maintenant, avec une lance dans l'oeil droit.

Une fois sortit hector grimpa sur sa monture et fonca a travers le pays. son collier lui indiquait instinctivement la direction a suivre.
Coute que Coute il devait Sauver son Frere

"Imbécile..." songea Eltshan.
Hector devait etre le seule combattant ici capable de lutter contre lui. Ce "Hugues" n'aurait aucune chance contre un combattant de sa classe...

"Bien... dans ce cas, Hugues... veux-tu m'affronter, ou alors te rendre ?"

Eltshan était certain de la réponse, et il savait que ce serait suicidaire...