Nouvel ennemi , Nouvelle bataille . . .

L'homme adossé au mur entendit son roi lui laisser relever le défi. N'ayant entendu que l'ordre de son souverain, il était un peu perplexe, les défis et les combats Hector en raffole. Hugues devina que la situation était préoccupante et se releva d'un bond. L'épéiste ressentit brusquement une intense douleur à l'épaule gauche, il regarda le lieu de sa souffrance pour remarquer le sang séché présent sur sa tunique. Avec toute cette agitation, la blessure s'aggravait, il devait éviter de trop l'employé pour son combat à venir. qui s'écoulait peu à peu. Il serra les dents pour en pas montrer sa douleur devant ses troupes avant d'ordonner :

Hugues : C'est un combat singulier, je vais donc y aller seul, interdiction d'intervenir peu importe l'issu du combat ! ...Ne vous inquiétez pas, le chef est celui qui prend tout en charge. Il dit : "J'ai été battu". Il ne dit pas : "Mes soldats ont été battus". Je suis le chef ici, donc je prendrais tout en charge et jure de faire revenir chacun de vous vivant chez lui !

Les troupes discutèrent rapidement entre eux de leur situation. Beaucoup d'eux été sceptique en tant de guerre de tel promesse sont rarement tenu mais ils avaient confiance en leur supérieur. C'est sous les encouragements de ses hommes que l'officier de Santaruz se présenta devant le paladin :

Hugues : Je me présente, Hugues commandant de la garde royale de Santaruz actuellement le chef des bataillons présents dans ce lieu. Je suppose que vous êtes mon adversaires.

Ethsan proposa à son adversaire de se rendre mais celui-ci par soucis d'honneur refusa immédiatement. Ne pouvant le convaincre, il ferait parler les armes, il se présenta et dégaina son arme. Avec un mouvement brusque, Le commandant assure son épaulière, fait virevolter son épée, se secoue un peu pour bien prendre la liberté des mouvements. Et il attend, calme, résolu, envoyant avant ce duel du devoir et de la mort, une pensée à ceux qu'il aime Après un long moment de patience, l'énervement de la bataille le prend. Hugues s'élance tandis que le paladin restait impassible. Soudain on entendit le bruit métallique des armes, le choc formidable du fer accompagné au cliquetis de l'armure de Eltshan. Hugues plongea sur le côté et tourna autour de sa cible, augmentant peu à peu sa vitesse. D'un simple geste, son adversaire le fit ralentir en abattant son épée à quelques centimètres de lui. Suivi d'une volée de coup tranchant en direction du commandant qui arrivait à les esquivait avec peine. D'un geste vif, il approcha dangereusement sa lame du corps effaré de Hugues. Il réussit à l'esquivé en vacillant lourdement au sol mais dans sa chute sa blessure d'avant se rouvrit. Un liquide chaud coula sur sa tunique qui se teintait d'une couleur pourpre. La plaie cicatrisé très mal, la situation devenait préoccupante pour lui. Il serra les dents pour ne pas montrer sa douleur et vociféra :

Hugues : Malgré ta lourde armure tu reste leste comment est ce possible ?

En réponse le paladin lui sourit avec dédain, l'homme au sol garda son sang froid et sa concentre avant d'exécuter plusieurs roulades et de siffloter un air mélodieux. Un cheval arriva au galop près du lieu d'affrontement, deux hommes tentèrent de l'empêcher d'approcher mais ils peinèrent et le cheval réussis à rejoindre son maître. L'étalon huma son cavalier avant d'hennir bruyamment en direction d'Elthshan. Le commandant grimpa sur sa monture et proposa :

Hugues : Poursuivons ce combat à cheval...

L'officier de Criméa soupira avant d'ordonner à ce qu'on lui apporte son destrier. Une fois en selle, les deux hommes partirent à brides abattue à travers la plaine, dans les blés, dans les vignes, sautant les ravins, passant miraculeusement entre les arbres, ouvrant et écrasant les haies. Ils s'échangèrent des coups pour déstabiliser son adversaire et ainsi le faire chuter de cheval mais quand l'un frapper, l'autre lui répondait. Les soldats venus assister aux spectacles ne percevait qu'avec peine dans la poussière et dans la fumée. N'entendant que les résonances du sol durci sous l'effrayant galop des chevaux devenus libres. Le commandant toucha à deux moments la vastes armure du paladin ne laissant qu'une légère éraflure. La course folle prit fin quand Eltshan assena un terrible coup sur le bras de son adversaire lui fessant ainsi lâcher les rennes. Celui-ci resta en selle que par la volonté de son destrier Queluno. Pour son maitre, gagner lui semblait une tâche de plus en plus ardue.

Dans une des salles flottait une légère odeur de brulé. Au sol reposait un livre ouvert, dont les pages s'étaient consumées. Au milieu de cette salle s'amoncelaient des chaines, et tronzit un sarcophage de pierre à la dalle supérieure fracassée. Plus rien n'y restait qu'une minuscule trace ensanglantée...

Narrateur: Revenons quelques instants plus tôt! Silphenix, c'est pas sympa de faire ton rituel pendant que le public regarde ailleurs!

Une fois le métal rassemblé, Silphenix ouvrit le livre.

"Toi qui es enfermée par les âges, en ces lieux j'appelle tes chaînes! Le métal t'aidera à les briser!"

Le métal commença à fondre, et à former des chaines...

"Toi qui es enterrée au plus profond de la terre, j'appelle ta tombe! La terre la brisera!"

Sous les chaînes, un sarcophage commença à jaillir du sol...

"Toi dont les os ont été calcinés, je renverse le sort! Le feu les rendra!"

Dans la roche, un crépitement se fait entendre...

"Toi dont la chair était gelée, je la modèle à nouveau! La glace sera ta chair!"

Un nouveau crépitement, plus bref.

"Toi qui vécut, je te rappelle à la vie! Le vent sera ton premier souffle!"

Un souffle fort se fait entendre, puis la dalle commence à trembler...

"Toi qui tomba et accepta l'étreinte des ténèbres, tombe à nouveau! Les ténèbres sont là et te renforcent!"

La dalle éclate en morceaux, et une main décharnée jaillit hors du sarcophage...

"Toi qui trouva dans la lumière la force de te relever, je te relève! A nouveau, la lumière te relève!"

La main semble s'apaiser, et reprend l'apparence de la vie. Elle s'appuie sur le rebord, et une femme se relève, s'extrayant du sarcophage. Elle porte une armure noire et sa tête est coiffée d'un heaume.

"Toi qui es revenue, je te donne de mon sang, qui te liera à ce monde. Combat à mes côtés, Solamia, l'Ange de Sang!"

Silphenix s'entaille alors le bras, et le tend à Solamia, qui en boit quelques gouttes.

Solamia: "Le pacte m'interdit d'en boire plus. Je n'ai pas le droit de prendre la vie d'un roi des dragons... Et je ne l'aurais de toute manière pas fait."

Silphenix: "Bien. A présent, suis moi. Nous avons un château à prendre d'assaut! Vortex, arme la!"

Silphenix s'élança, suivi de près par Solamia. Nul doute que rien ne devrait se placer sur leur chemin, sous peine de mort... Ils atteignirent sans encombre le lieu du duel.

"Une telle armée contre nous tous? Le combat est inégal: l'armée est seule..."

Le blessé tendit sa main droite et regarda son épée emprisonnée dans son gantelet qui se couvrait de rouge. Il admira son sang coulé petit à petit, puis sous l'effet de la douleur et de la fatigue son bras s'abaissa. L'officier de Santaruz lâcha son arme, de son épaule à sa main plus rien ne semblait plus pouvoir bouger, seul le bout de ses doigts tremblés. L'arme ensanglanté chuta au sol dans un grand écho métallique. Le blason et les insignes de son royaume disparaissait sous une couche pourpre. Les fines gravures se remplissait de sang seul sa cape volant déchiré à plusieurs endroits montrer son alignement. La légère brise qui fesait virevolter le tissu, lui frappa violemment le visage. Sa monture poussa un hennissement qui d'après les témoins présents annoncés la fin de son maître. L'homme couvert d'un liquide chaud tourna légèrement pour voir l'armé de son adversaire qui était recouverte de son sang. Il déplaça son regard vers son adversaire avant de regarder le ciel et de sourire. Le haut gradé remarqua dans l'infini bleuté plusieurs personnes qu'il connaissait bien. Serais ce dû à son imagination ou tout simplement voyait il sa vie défilé, il ne le savait pas. En distinguant Azilis, Malbius, Hector il s'excusa auprès d'elle de ne pas avoir terminé son entrainement, souhaita une longue vie au prince et demanda à son souverain le pardon, Hugues n'avait pas été à la hauteur de ses espérances. Ensuite apparut devant lui le souverain de Begnion, en le voyant il eut un profond remord, mourir sans avoir réussis à utiliser les techniques qu'il lui avait enseigné encore un déshonneur. Le reste de ce qui pour lui semblait être un rêve était fait des personnes qu'il avait connut. Le général de Santaruz eut une pensée pour chacun d'eux. Puis apparut finalement la silhouette d'une jeune femme aux longs cheveux, à sa vue, Hugues reçut un bref frisson suivi d'un augmentation des battement de son cœur. Puis finalement le rythme redevient plus régulier et diminua faiblement. En gardant un sourire sur son visage, il balbutia

Hugues : Je suis navré, je n'ai...pas été à la ...hauteur ! Pardonne moi...J'aurais tant aimé... de prouver ma force...princesse

Il vacilla sur l'encolure de son destrier et ferma fatigué les yeux.

[Princesse ? t'est en love sur Seles XD ]

[Héhé je cache bien mon jeu, vous verrez bien je prépare un grand bouleversement]

[ Tu demandera son avis avant XD Bon Stop HS )

Juste à temps... ou plutôt non, juste en retard. C'est à ce moment que l'étrange duo atteint le lieu de la défaite du brave général santaruzien.

"Ah tiens, non, ils sont deux aussi... le général, et son armée. Je prends le général, tu prends l'armée?"

Silphenix venait de poser cette question, sur le ton de la plaisanterie.

"Il vaut mieux que vous combattiez l'armée, mon roi... Je m'occuperais de celui ci."

Silphenix tira son épée, et commença à se transformer, mais il stoppa sa transformation au milieu, prenant une forme intermédiaire, celle d'un humanoïde de grande taille, avec une peau aux écailles dorées. Sa tête était déjà celle d'un dragon, et sa silhouette empreinte de majesté.

De son côté, Solamia retira son heaume, et ses cheveux cascadèrent, révélant un visage trop parfait, inaccessible à l'usure du temps. D'aucuns auraient dit "un visage de statue", mais un éclat particulier l'animait, tel que ces derniers aurait dû se corriger bien vite, et dire "un visage d'Ange, un visage d'immortel". Elle prit la parole:

"Si tu veux l'achever, tu devras me combattre. Si tu ne veux pas, tu le devras également. Cependant, sache que je te laisse le temps de récupérer de la fatigue de ce combat. Si quelqu'un veut te soigner, qu'il le fasse. Je n'attaquerai que si je te vois l'approcher."

A la fin de sa tirade, elle se signe, et prononce ce qui ressemble à une bénédiction, puis passe sa lame au creux de son coude, l'entaillant légèrement. La lame se couvre alors de flammes dorées. Solamia la plante dans le sol, et pose ses mains sur la garde. Sa blessure au coude se referme d'elle même, mais ce n'est pas le plus surprenant. Au milieu de son front se trouve un oeil, semblable en tout point à un oeil humain, si ce n'est qu'il est auréolé de lumière.

Le général sentit que son destrier avancé, étant un cavalier expérimenté il ressentait et distinguait le mouvement des longues jambes de l'animal. La fatigue étant si lourde, ses paupières restèrent clauses. Hugues se demanda ou l'amener sa monture, vers un lieu en sécurité loin du chant atroce des morts et des chocs fracassants des armes ou au contraire le rapprochait de sa fin. Il se sentait las de tout ses combats, la douleur était tenace et lui rappelé sans cesse qu'il était encore et toujours en vie. Mais pourtant, sa volonté lutté pour sa survie, ce caractère de jamais baisser les bras tenter de le faire relever. La soif de vivre est la plus grande envie qui soit, l'officier ouvrit doucement les yeux; Le cavalier distingua un soldat qui tiré sur le filer de son étalon. Il réfléchit à un moyen de sortir de cet endroit mais son honneur l'empêchait d'abandonner ses troupes. Le blessé força sur son poing pour tenter de bouger son bras. Un liquide chaud coula le long de son membre, les dents se serrèrent, la douleur augmentés mais la volonté de fer resté inébranlable. Son coude se plia doucement, il fit quelques gestes lentement avec son bras. Le général se redressa le dos droit et le regard déterminé. Il essuya le sang qui le gênait et remarqua que l'homme en armure qui tractait sa monture venait de s'arrêter devant une personne possédant une grande prestance. Cet inconnue portait un long pantalon d'un blanc éclatant et une veste verte couvrait le haut de son corps. Une ceinture en cuir faisait le contour de son bassin et avait divers objets attachés à l'aide de bandages. De grandes bottes noire pour éviter de tacher ses habits. Une longue cape rouge avec une fine dentelle dorée. Ses longs cheveux bruns tombés en arrière jusqu'au bas de son dos.. En voyant son allure, le cavalier devina que ce n'était pas qu'un simple soldat ou sous fifres de Criméa. Le blessé remarqua que celui qui lui fesait face était une femme portant pourtant des habits assez masculin. L'étrange personne ferma sèchement le livre qu'il lisait et questionna l'officier.

Morgane : Général de Santaruz, je suis Morgane une tacticienne au service des deux nations Criméa et Lahus. Venus ici dans le but de trouver une solution moins hostile à ce conflit, d'après nos dirigeants voici nos conditions : premièrement vous partez avec vos hommes et vous rentrez dans votre royaume. Ensuite la nation de Santaruz ne doit plus jamais pointer une arme en direction de Lahus et ses alliés. Votre nation doit s'engager à réparer les dégâts dû à cette bataille et en plus devra payer un impôt plus ou moins lourd. Et finalement suite à ça vous êtes reconnu comme fautif de cette bataille et renoncez à votre grade.
Hugues : C'est très strict....même injuste, ma décision impliquera tout mon royaume...

L'officier réfléchit à sa situation, il était désarmé mais il garde toujours une rapière sous sa cape. Si il tué cette imprudente et qu'il partait rejoindre son roi ou le château de Santaruz. Mais rentré en abandonnant le reste de ses hommes qui ont affrontés vaillamment les soldats de Lahus, il ne pouvait se résoudre à le faire. Mais accepter serait une folie. Son interlocuteur resta calme et sereine et ajouta.

Morgane : Il vous reste un autre choix mais qui serait moins enviable pour vous, la mort.
Hugues : La mort....Vous savez, je suis blessé, je parviens à parler que par la force de toute ma volonté et je bouge le bras que difficilement. Si ma mort permet à Santaruz de conserver sa dignité j'accepte mon destin le sourire au lèvre. Cependant je vous demande une dernière chose, laissez partir mes soldats sains et saufs. J'assume l'entière responsabilité. Cependant avant mon châtiment je voudrais une audience avec la souveraine de Lahus.
Morgane : Vous avez de l'honneur c'est plutôt noble de votre part mais serait vous capable de le tenir au point de mettre un terme à votre existence ? Je vais faire part de vos conditions. Pour le moment, je laisse Sir Ethsan s'occuper de vos hommes le temps qu'un accord soit passé. Leur destin dépendra de notre décision. Maintenant allons à Criméa, ça nous rapprochera de votre rencontre avec la reine ou du jour fatidique de votre mort.
Hugues : Entendu Morgane, je vous suis.

L'homme en armure qui avait escortait Queluno et son maitre partit et ramena un cheval blanc. La jeune tacticienne monta en selle et les deux chevaux galopèrent à foulées régulières.

[Hugues, soit j'ai pas suivi, soit je suis là, à l'intérieur, soit tu étais à l'extérieur... Donc excuse moi d'anéantir ton élan d'héroïsme ><, mais la bataille n'est pas perdue ici ^^]

[ Santaruz a du se replier dans une tour , et hughes s'est fait latter par le general ennemi dans un combat singulier. ce qui fait que la , on a perdu , sauf que toi t'arrive et tu sauve mes soldats xD ]

[ J'avais prévu un méga truc avec Zara mais comme il bosse je fais sans lui. Logiquement les soldats devraient s'en sortir.
Et puis Silphy, il était inconscient et à son réveil, il était plus loin avec ce soldat qui tirait son cheval et cette femme. Il n'a pas remarquer ton arrivé et ce fameux paladin qui m'a vaincu est cheaté au max tu n'arriveras pas à le vaincre crois moi. ]

[Hé! Je suis un roi, je te rappelle >< Et ma nouvelle alliée est bill aussi XD]

Eltshan avait remporté le combat sans aucune difficulté, mais il dut reconnaître le courage (voire la témérité) de son adversaire. Cependant, l'arrivée impromptue et inattendue de Morgane le surpris. Elle n'agissait que très rarement sans son ordre, et il semblerait que cette fois ci était l'un de ces rares cas. Il la laissa parler, connaissant ses compétences oratoires. Elle proposait d'emmener le général Hugues à Criméa, pour qu'il rencontre la reine de Lahus. De plus, les conditions abordées par Morgane étaient tout bonnement inacceptables pour Santaruz, mais avaient le mérite d'être claires. Après tout, il était vrai que Lahus et Criméa avaient remporté une grande bataille, comme prévu par les deux reines... Eltshan, au courant du plan d'attaque, n'avait point été informé des objectifs stratégiques de cette manœuvre, et comprenait désormais que Morgane en était la détentrice. En balayant le champ de bataille du regard, il comprit également que quelqu'un d’autre était ici. Quelqu'un de très puissant, apparemment. Il ressentit même plus... Un dragon ? Impressionnant, certains ont donc survécu ? Il prit alors la parole :

"Je ne sais pas qui vous êtes, ni ce que vous êtes... cependant, sachez que malgré votre force apparente, vous êtes démunis face à nous. Je ne vous connais pas, et si vous ne voulez pas nous combattre, partez. Partez avec l'armée de Santaruz, je ne suis pas homme à faire des prisonniers de guerre. Mais si vous souhaitez nous combattre, sachez que je n'hésiterait pas à me servir de ceci"

Il sortit une lame noire du fourreau qu'il portait à sa gauche. D'un seul coup d'oeil, un escrimeur averti comprenait la finesse de l'acier, et le talent du forgeron qui l'avait créé, mais d'un seul clignement de paupière, un magicien pouvait ressentir l'incroyable force magique contenue dans cette arme

"Voici la Milstotin, une épée forgée par vos semblables, les dragons. Elle est suffisamment puissante pour tenir tête à des ennemis comme vous, d'autant que je ne suis pas seul. Morgane, ici présente, possède elle aussi une arme draconique. Je ne voudrais pas en venir à un combat dévastateur pour la cité, et je pense qu'il serait mieux pour tout le monde de repartir en attendant le résultat des négociations."

Il consulta Morgane du regard, et la vit acquiescer. Il regarda alors Hugues, qui s'apprêtait à la suivre, puis l'armée de Criméa, qui avait pris position dans la ville, et encerclait les quelques bataillons santaruziens survivants, et enfin, il fixa la forme qu'il avait aperçue plus tôt, et qu'il pensait bien être un dragon. Il attendait vraisemblablement une réponse.